Quand la douleur s’abat sur moi, je ne parle pas. Je ne cherche pas à fuir, je me laisse aller, comme un hommage silencieux à l'autorité qui me façonne. Dans cette soumission, je me perds et me trouve. La douleur, loin de me briser, me complète. Elle m'élève, me rend plus docile, plus attentive à chaque mouvement de son désir. Je suis là, prête à souffrir, à me faire punir, car chaque souffrance est une preuve de ma fidélité, un acte pur de dévouement silencieux.